Entrepreneur, je publie moi-même mes romans, au moins dans un premier temps, au nom des « éditions Hydolia ». C'est par cette structure que je peux travailler étroitement avec les professionnels du livre, les associations et les écoles.
Vous avez probablement pu constater que mes livres sont édités par « Hydolia ».
Il s'agit de ma société d'autoédition. Référencée par le numéro SIRET 514 973 262 00033, elle me permet de publier mes livres, d'intervenir en conférence, et de travailler avec de nombreux professionnels du livre, des associations, des écoles, etc.
Note : Hydolia ou Bookelis ?
Mes romans sont parfois référencés par « Bookelis » et non Hydolia. Cela est propre au réseau Hachette Livres, sur lequel les libraires (en ligne ou non) commandent mes livres. Dans la pratique, ça ne change rien pour vous : le contenu reste le même, il n'y a que l'imprimeur et l'ISBN qui changent.
Autoédition professionnelle
S'il est aujourd'hui tout à fait possible de publier ses livres en amateur par l'autoédition, l'autoédité doit se professionnaliser s'il souhaite travailler avec les professionnels et essayer de vivre de son métier.
Concrètement, Hydolia me permet aujourd'hui de vendre mes livres en dédicace, sur mon site, directement aux lecteurs, ou en passant par un intermédiaire de la chaine du livre (libraires, plateformes en ligne, etc.).
Au-delà des possibilités commerciales et administratives que ce statut peut fournir, il est également un gage de sérieux lorsqu'il s'agit d'interagir entre professionnels. En effet, l'autoédition n'a pas toujours bonne presse... loin s'en faut ! Quand elle n'est pas tout simplement méprisée par « les vieux du livre » ou « les élitistes de la culture », son image peut se ternir d'elle-même lorsque l'on tombe sur des auteurs plein de bonne volonté, mais encore très amateurs (ou arrogants) dans leur approche du métier.
Fort heureusement, au fil des années, et grâce au travail de pionnier de nos ainés, l'autoédition commence à se structurer. Un auteur peut désormais gagner sa vie comme n'importe quel commerçant : il ne s'agit plus alors de collecter des droits d'auteur par l'intermédiaire d'un éditeur, mais de devenir soi-même entrepreneur. Auteur-entrepreneur !
Encore faut-il s'intégrer avec respect et responsabilité dans cette chaine si fragile qu'est celle du livre.
C'est en tout cas l'engagement que je fais : avec Hydolia, peser dans la balance du bon côté !
Le saviez-vous ?
D'où vient le nom Hydolia ? Si vous avez lu ma série le Tourment des rois, vous ne serez pas passé à côté du clin d'oeil : Hydolia est le royaume au centre de l'intrigue et de l'épopée ténébreuse d'Hydan, son dernier roi.
Mais au-delà du nom, il y a également le symbole : si au début de l'histoire Hydolia est un royaume dirigé par un tyran sanguinaire, un chef de guerre qui prospère par l'argent du sang et le massacre d'innocents, il devient peu à peu un idéal de société qu'Hydan, notre héros, n'aura de cesse de guider.
Et cela rejoint ma propre ambition : par la fiction, inspirer des lecteurs qui inspireront à leur tour, afin qu'à chaque idée véhiculée, l'humanité ait (même un tout petit peu) à y gagner.